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Le polythéisme de nos ancêtres
africains : source de vérité
" A people without the knowledge of its past history,
past religions,
art and culture, is like a tree without roots. "
- MARCUS GARVEY -
Dans la plupart des anciennes traditions africaines
il est question, dans leurs mythes et légendes, de Dieux au
pluriel, humanisés,
on pourrait dire plus simplement : "humains", avec
des traits et caractéristiques d'êtres humains,
de petite taille ; ce sont bien des êtres physiques.
Déjà nous savons que dans l'Ancien Testament HEBREU [la Torah], il y a trois principaux personnages de caractère
qui sont : Yahvé, Lucifer et Satan. Or, Ces mêmes
Dieux humanisés reviennent dans beaucoup de mythes et légendes
des peuples bantous ; par contre ils y portent souvent des noms
différents.
Mais avant d'entreprendre notre grand voyage en Afrique pour
vérifier
qu'il en est bien ainsi, offrons-nous, d'un coup d'ailes,
un crochet vers les Indes et l'Asie.
En effet il y a, dans la RELIGION HINDOU, des milliers de
Dieux, de Divinités, mais malgré leur grand nombre, nous
trouvons là aussi, trois personnages principaux, à savoir
: "Brahma" (Yahvé), "Shiva", souvent
présenté comme androgyne (Satan), et "Vishnu" (Lucifer).
Maintenant, en avant pour notre grand parcours africain :
Partons du Nord nous traverserons le désert et, avec un peu de chance,
nous y trouverons bien quelques-uns des derniers NOMADES
TOUAREGS ; ils nous apprendront que, pour eux, l'ensemble des divinités
du ciel s'appellent "Emeli-hin". Phonétiquement
ce nom parait assez proche d'Elohim... un bon début
!
Sortant du désert et nous dirigeant vers l'Atlantique, faisons
une première halte, histoire de faire connaissance avec
les YORUBAS. C'est au Nigeria et/ou au Bénin qu'on va les
découvrir. Les Yorubas sont, tout à la fois, une
tribu et une Religion. Et dans leur Religion il est question de
plusieurs Dieux, de toute une panoplie de Dieux, dont les trois
principaux sont : "OBATALA", le chef créateur,
qui est androgyne [homme/femme] et qui correspondrait au "Yahvé" de
la Torah, puis "YEMAYA", la force maternelle de la création,
qui correspondrait au Lucifer de la Torah, et le troisième "ELEGUA",
qui est la tentation et correspondrait, lui, au "Satan" de
la Torah. Il est aussi à noter que cette Religion Yoruba
s'est exportée au moyen de l'esclavagisme et elle est devenu
le berceau du "SANTERIA" qui est pratiqué au Brésil, à Cuba
et aux USA, chez des descendants d'esclaves, ceux-là ayant
continuer à pratiquer la vénération de leurs "Dieux",
mais ayant changé - ce qui est bien regrettable - les noms
de ces Dieux en noms de Saints Chrétiens, d'où ce
nom de "Santeria" qui veut dire "la vénération
des Saints".
Tant qu'à être au Nigeria, profitons-en pour saluer
aussi les IBOS, pour qui le chef des Dieux s'appelle "Ikenga",
son adjoint direct se nommant "Chiuke"
Et, puisqu'au Bénin nous sommes encore, sachant qu'il y
a une caste de prêtres "sorciers" VAUDOUS dans
ce pays profitons-en également pour les découvrir.
Comment est-elle leur religion à ceux-là ? Très
simple : ils vénèrent depuis toujours des petits êtres
venus du Ciel ; ils les reconnaissent comme les créateurs
de l'humanité, les appellent les "Azizas" et déclarent
que leur chef est "Yéwé" (presque Yahvé !).
Tiens, Tiens, intéressant aussi tout ça !
Puis, gardant un pied chez les Béninois, voyons chez eux
et leurs voisins, du Togo et du Ghana, ce que pensent les EWES.
Eux, ils appellent les Dieux du ciel "Tïowo" [la
terminaison en "wo" indiquant le pluriel], le chef des
Dieux du ciel "Nana Bouclou" (Yahvé), et le Dieu
Serpent "Anyiewo" (Lucifer).
En restant au bord du Golfe de Guinée, on découvrira
une autre chose passionnante, chez les AKANS du Ghana : le chef
des Dieux, le Dieu suprême a cohabité à proximité de
l'homme sur terre, il était bel et bien physique, vivait
parmi les hommes, et ceux-ci pouvaient l'approcher librement, il était
homme/femme (androgyne donc) et s'appelait "Oboadee",
ou parfois "Brekyirihunuade".
Partons vers le Sud-Est, et arrêtons-nous chez les Rwandais
(TUTSIS, TWAS et HUTUS), là où la Religion Monothéiste
des colonisateurs a commis sciemment tant de crimes, plus horribles
les uns que les autres, il reste encore cependant des traditions
anciennes connues et indiquant ceci : l'ensemble des génies
venus du ciel se nomment "Imandwa" et le Dieu suprême
s'appelle "Imana". Ce Dieu est un être tout à fait
physique qui s'entretenait jadis avec les hommes ; ses interlocuteurs,
eux, pouvaient le voir, le sentir, le toucher, lui parler, tandis
que lui, en présence de nombreux témoins, il accomplissait
des prodiges, il ressuscitait des morts ou donner un nouveau corps
jeune à des malades âgés. Pour les Rwandais,
c'est Lui, Imana, qui a créé le premier homme, II
l'a créé à son image et à sa ressemblance,
puis II l'a appelé "Kazikamuntu" (Adam).
Avant de descendre la côte Ouest, traversons la forêt équatoriale,
quand nous parviendrons chez les PYGMEES, eux nous expliquerons
ceci : "Arebati" est le chef des petits êtres venus
du ciel, c'est Lui qui a créé l'homme à partir
de l'argile, puis II a mis le sang dans l'homme, et a insuffler
la vie en lui.
Parvenus à l'Atlantique nous ferons une halte chez les FANGS,
au Gabon, où on nous enseignera que les trois Dieux principaux
sont "Nzame", "Mebere" et "Nkwa".
Et pour terminer notre périple nous mettrons le cap...
sur LE CAP...
Et dans ce riche pays nommé "Afrique du Sud",
ce seront d'abord les ZULUS qui retiendront notre attention car
ils voient leurs ancêtres comme des anges gardiens venus
du ciel ; ils prient "Amazulu", ce qui veut dire dans
leur langage : "le peuple du ciel" et pour eux, le chef
des Dieux du ciel est "Ukulunkulu" (Yahvé), son
assistant pour œuvrer à la création - celui
qui apporta la connaissance aux hommes - c'est "Unwaba" (Lucifer)
; mais dans leur cosmogonie existe aussi un troisième créateur
important : "Umvelinqangi".
Le peuple Zulu, est un fameux peuple guerrier, dont un des
rois célèbres fut jadis "Shaka Zulu",
mais quand on pose à un anthropologue blanc la question
: « que
signifie le mot "Zulu" ? » on reçoit
généralement
comme réponse : « "Zulu" veut dire "le
ciel"... c'est pour cela que "les Zulus" s'appellent "le
peuple du ciel" » Bon, réponse habituelle
! Mais l'ennui c'est que... c'est tout faux et en plus
c'est injuste à leur égard
! En langue zulu le mot indiquant le ciel est "sibakabaka",
il y a un autre mot pour
indiquer l'espace inter-planétaire, c'est "izulu",
puis un autre encore pour indiquer le cosmos infini : "weduzulu" et
ce dernier peut aussi bien être employé pour signifier
des "voyages cosmiques" ! On comprend bien qu'il ne s'agit
pas du tout de la même chose que ce que prétend "l'anthropologue
de service" et ça n'a pas du tout la même portée
! Cela nous indique clairement que les zulus étaient conscients
qu'on peut faire des voyages interplanétaires, qu'ils étaient,
depuis longtemps, au courant que les voyages cosmiques existent,
d'ailleurs ils ne clament pas, eux : "les Zulus sont le peuple
du ciel", pas du tout, ce qu'ils clament, c'est que, voici
des millénaires, un peuple est venu du ciel pour créer
la vie sur terre. Plus fort encore, les zulus, dans leurs traditions,
parlent aussi du fait que ce peuple du ciel s'est mélangé ici
sur terre avec certaines des filles qu'ils avaient créées
et que les descendants issus de ces unions "sexuelles" fondèrent
alors une race de Rois et de Chefs de tribus.
Ce système solaire inclus dans notre galaxie et d'où sont
venus les créateurs, est désigné par les zulus
du nom de "Ingiyab", et le soleil de la planète
qu'occupent habituellement les créateurs est désigné par
le nom de "IsoneNkanyamba". Les zulus, depuis toujours,
connaissent et ont adopté un concept de l'infini dans le
temps et dans l'espace : pour eux, temps et espace sont infinis
et "un"; leur mot pour désigner l'espace infini
est "umkati" et pour désigner l'infini dans le
temps ils emploient "isikati".
Ne vous laisser pas bercer... ni berner par un anthropologue
blanc qui viendrait vous dire que le mot "zulu" signifie "ciel",
et que, de par leur nom les zulus sont "le peuple du ciel" !
Ce n'est pas vrai, "Amazulu" désigne un peuple
qui est venu du ciel, un peuple venu d'un... "ailleurs" :
d'une autre planète habitée, ce mot désigne
en fait les dieux-créateurs du peuple "zulu" et
de l'humanité entière.
Enfin, avant de quitter cette belle Afrique, ce continent
qui nous est si cher, nous irons au cœur de ce dernier pays visité,
pour trouver en "Afrique du Sud Centrale", les BUSHMEN qui nous informeront, eux aussi, des noms qu'ils connaissent pour
les plus importants d'entre les Dieux venus du ciel, à savoir
: "Cagn" (Yahvé), "Dxui", "Mantis" et "Kwammanga".
Voyage terminé, nous aurions envie de quitter le Sud...
de l'Afrique du Sud... par bateau, histoire, en passant
le Cap du même nom, de garder au cœur la "bonne
espérance" qu'un
jour - on le souhaite le plus proche
possible ce jour - se réveillent enfin la conscience
et la Sagesse de tous les habitants de cette superbe Afrique,
si miséreuse
actuellement alors qu'elle est si riche de potentialités
humaines et matérielles, mais aussi de celles dont
sa paix et son bonheur dépendent en premier lieu
: les potentialités
religieuses.
On l'a constaté au cours de notre agréable
voyage, partout en Afrique on voit que les ethnies, les tribus,
les clans
sont polythéistes. Il y a une pluralité de
Dieux, de Divinités, d'Etres Célestes venus
du ciel, d'Etres Cosmiques venus du lointain.
Toutefois, au cœur de la majorité des mythes et légendes
de tous ces peuples africains il y a un Dieu principal, il y a
comme... un Président de tous les Dieux, comme le Président-Chef
d'un peuple venu du Ciel, on sent qu'il y a véritablement
un dirigeant responsable de l'œuvre de création de
la vie sur Terre, tout comme il y en a un dans la Bible originale
en Hébreu, et il se trouve qu'il y est justement appelé "Yahvé".
Alors, voyons en résumé, comment "Yahvé" est
désigné chez tous les différents peuples
d'Afrique que nous connaissons :
"
Ngaï" chez les MASSAÏS du
Kenya et de la Tanzanie, "N'Kosi
Yama'kosi" chez les "NDEMBELES" du
Zimbabwe, "Mahrem" chez
les "AXUMITES" d'Ethiopie, "Nana
Bulukus" chez
les "FONS" en
Afrique de l'Ouest, "Akuj" chez
les "TURKANAS" du
Kenya, "Akongo" chez les "NGOMBES" du
Congo, "Nzokomba" chez
les
MONGOS" du
Congo, "Kalumba" chez les "LUBAS" du
Congo, "Katavi" chez
les "NYAMWEZIS" de
Tanzanie, "Amma" chez
les "DOGONS" du
Mali, "Astar" chez
une grande partie des PEUPLES EN
ETHIOPIE ET SOMALIE, "Mbotumbo" chez
les "BAULES" de
Côte d'Ivoire, "Ndriannahary" chez
les MALGACHES, "Ajok" chez
les "LOTUKOS" du
Soudan, "Quamta" chez
les "XHOSAS" d'Afrique
du Sud, "Ka Tyeleo" chez les "SENUFOS" d'Afrique
de l'Ouest, "Musisi-Kalunga" chez
les "NDONGAS" d'Angola, "Chiuta" chez
les "TUMBUKAS" du
Malawi, "Rock-Sene" chez
les "SERERS" de
Gambie, "Massim-Biambe" chez
les "MUNDANGS" du
Congo, "Huveane" chez
les "BASUTOS" du
Lesotho, "Kyala" chez
les "NYAKYUSUS" de
Tanzanie, "Bumba" chez
les "BOSHONGOS" d'Afrique
du sud, "Muluku" chez
les "MOCOUAS" du
Zambezi, "Faro" chez
les BAMBARAS" du Burkina Faso et du Niger, "Wenna" chez
les
Mossis" du Burkina et du Niger, etc.
II est encore appelé "Marcadit" chez les DINKAS du Soudan, et pour eux, le premier homme et la première
femme qu'il créa formant ainsi le premier couple (Adam & Eve)
y sont appelés "Garang & Abuk"
Nous avons donc nos mythes et légendes à nous qui
relatent la création, nous avons toujours eu nos Religions à nous,
qui relatent la genèse de l'Homme. Les Dieux de nos ancêtres étaient
des Dieux humanisés, avec des traits et caractères
humains, ils étaient physiques, de chair et de sang, ils étaient
descendus du ciel dans leurs engins. Ils étaient plusieurs,
ils étaient un peuple, avec à leur tête le
Dieu suprême qui a dirigé la création. Dans
tous les mythes et toutes les légendes des peuples d'Afrique
la terre existait déjà, les Dieux l'ont trouvé,
et y ont implanté la vie, les animaux, la nature, et l'homme
qu'ils ont créé à leur image et à leur
ressemblance.
Les chérubins de la Bible originale en Hébreu, nous
les connaissons très bien dans nos traditions et cultures
anciennes. Ce sont les Dieux humanisés de nos ancêtres,
la plupart du temps décrits comme des êtres célestes
de petite taille, et souvent de type androgyne.
Nos anciens dans les villages ont gardé ce savoir, ils connaissent
encore les histoires des petits génies qui sont venus du
ciel dans des pépites argentées, dans des bols d'argent,
dans des calebasses brillantes qui volaient. Ils connaissent encore
les histoires des esprits-génies qui sont dans les forêts
et qui aident et guident les hommes, qui viennent dans les grottes
pour les initier et enseigner leurs connaissances aux chefs, ou à ceux à qui
ils ont choisi de la donner.
En Côte d'Ivoire, ces grottes, ces cavernes des anciens,
ont une entrée qui est le dessin de ces "engins des
Dieux", car elle a la forme d'une cloche aplatie... comme
si la roche avait été coupée au couteau dans
du beurre mou, les formes étant parfaites et représentant
tout à fait celles d'une cloche aplatie !
En Ethiopie, les histoires du Roi Salomon venant visiter
la Reine de Sabah et arrivant de Jérusalem dans son char volant sont
connues de tous, la durée du voyage à bord de son
engin était... celle d'un éclair et parfois même
il envoyait tout simplement son char volant avec, à l'intérieur,
des présents pour la Reine de Sabah, sans que lui-même
soit à bord.
En Ancienne Egypte, les lieux autour du Mont Sinaï étaient
connus des Anciens sous le nom de "pays des vaisseaux flamboyants" !
Les pépites argentées volantes... les calebasses
d'argent volantes... les bols d'argent volants... tous ces véhicules
célestes que nos ancêtres voyaient et décrivaient
dans nos traditions comme les "engins des Dieux", comme "l'engin
de Yahvé" - pour nos ancêtres Yahvé était
le dirigeant de la création et Président des Dieux
- apportent des descriptions équivalentes à celles
de la "Merkabah" dans la Bible originale en Hébreu
[le Chariot volant qui transporte le trône de Yahvé],
des Vimanas [les vaisseaux spatiaux des dieux décrits dans
le Mahabarata et le Ramajna Hindous], ou encore de "la nuée" ou
de "la gloire de Yahvé" deux expressions employées
de nombreuses fois dans la Bible Hébraïque. Toutes
ces appellations laissèrent la place dans les langues occidentales
- il n'y a pas si longtemps de ça - à la tournure "Soucoupes
volantes", remplacée depuis quelques années,
par celle d'OVNIs ("Objets Volants Non Identifiés"),
["OVNI" devient "UFO" en Anglais].
Mais nous, africains, il faut absolument que nous retrouvions
nos anciennes traditions qui sont belles et qui gravitent
autour de
la vérité, que nous retrouvions nos "Dieux" (au
pluriel), ceux de jadis, nos Dieux humanisés, physiques,
qui existent bel et bien, vivent et demeurent naturellement dans
le ciel ; alors nous pourrons à nouveau être dans
la vérité et la pureté totale.
C'est dans cette voie-là que réside notre "vraie" spiritualité,
que se trouve le chemin de la compréhension, le chemin de
la conscience et d'une harmonieuse ouverture d'esprit sur l'infini
- l'infini dans le temps et dans l'espace - car, aujourd'hui, nous
sommes immergés dans le concept inventé d'un "Dieu
unique", immatériel, tout puissant, omniprésent,
une façon de concevoir le monde que nous imposent nos colonisateurs
et leur Religion : un Christianisme... défiguré,
dévoyé jusqu'à agir à l'extrême
opposé du message de Paix et d'Amour délivré par "Jésus,
le Christ"... dont les "Prélats" de cette
religion ont le culot de se prétendre les représentants
officiels.
Et pour nous, à partir de ce concept-là, toutes les
soi-disant "valeurs" qui nous sont inculquées
(par la force !) ne font que nous éloigner de la vérité et
endorment notre esprit ; de surcroît, elles font prier "Jésus,
le Sauveur" par des masses d'Africains... qui ne pourront
jamais trouver "leur salut" en suivant cette voie imposée
par l'Occident !
Si l'Afrique veut réellement se sauver, elle doit se débarrasser
de ces concepts amenés et imposés par le colonisateur,
se "décoloniser spirituellement", elle doit retrouver
les concepts polythéistes, dont elle est instruite depuis
des siècles, retrouver ses Dieux humains venus du ciel,
et enfin, elle doit analyser tout ceci sous la lumière,
et de la science d'aujourd'hui, et des technologies du futur. C'est
là que réside, pour l'Afrique la clé de sa
propre et heureuse réalisation... et non pas dans la Religion
du colonisateur qui est venu pour nous aliéner nous-mêmes,
annihiler notre identité, s'emparer de notre patrimoine,
et qui, par une suprême malignité, a fait de chacun
de nous un être facile à dompter, à modeler, à mater, à domestiquer...
mais ce, toujours dans le même "esprit colonial",
afin que le "néo-colonisateur" qu'il est, puisse
encore à notre époque, maintenir "le noir" sous
contrôle, en être dépendant, obéissant,
servile et surtout jamais révolté envers le "Père
blanc" en soutane et son livre "saint", le Nouveau
Testament.
J'aime bien ce nom de "Nouveau" Testament, il est révélateur
! Bien évidemment, cette Institution a dû créer
quelque chose de nouveau... au profit de sa cause, afin d'accomplir
sa mission impérialiste et mercantile : écarter les
masses du bon chemin, les "égarer" et pour parvenir à ses
fins, il lui fallait se faufiler comme berger (hélas un "faux
berger" !) au milieu du troupeau des brebis soi-disant égarées.
Elles ne l'étaient pas jusqu'alors, mais elles le sont devenues
depuis... et rien qu'à cause de lui !
Moi je préfère l'Ancien Testament, leur "Nouveau" je
n'en veux pas, car cela sent trop le coup monté. Mon Ancien
Testament ce sont les "Dieux humanisés" de mes
ancêtres, c'est la genèse, l'histoire de la création
racontée par mon peuple, par les Anciens et je ne peux la
comparer uniquement qu'à la Genèse du véritable "Ancien
Testament" : la Torah.
Il y a une vérité commune dans toutes les traditions
religieuses de nos ancêtres en Afrique, que ce soit au Sud, à l'Ouest, à l'Est
ou en Afrique Centrale ; à travers ces traditions, c'est énorme
le nombre de points communs qu'il y a entre toutes les religions
de par le monde. Partout on parle d'êtres célestes
qui avaient la faculté d'apparaître et de disparaître
aux yeux des humains comme ils le souhaitaient, tout comme Yahvé pouvait,
selon les Hébreux, apparaître soudainement à Moïse,
dans un "buisson ardent" par exemple... à une époque
rappelons le, où seuls les oiseaux volaient... pour
les humains cela viendra aussi, mais beaucoup plus tard dans
leur Histoire
!
Dans la majorité des traditions religieuses bantoues il
est dit que Yahvé et ses autres Dieux, après avoir
créé l'homme, s'éloigna de lui et qu'il ne
se préoccupa plus de lui, donc, que les créateurs
et leur dirigeant sont à un moment donné partis,
qu'ils ont laissé l'homme seul sur la Terre. Et les traditions
disent aussi qu'avant ce départ des Dieux, il y avait des échanges
faciles et aisés entre eux, les créateurs et nous,
les humains qu'ils avaient créés.
A titre d'exemple, dans les traditions religieuses
des pygmées
de Semang il est dit : « autrefois, un tronc d'arbre reliait
le sommet de la montagne cosmique, le centre du monde, avec le
Ciel ; les communications avec le Ciel et les relations avec les
dieux étaient alors faciles et naturelles ; à la
suite d'une faute, ces communications ont été interrompues
et les dieux se sont retirés encore plus haut
dans les deux. »
Mais scrutons aussi d'autres traditions, chez d'autres
humains à la
peau noire, tels que les Arandas d'Australie centrale : « au
Ciel, il y a l'Eternel jeune "altjira nditja", avec les
autres Dieux, ils vivent là-bas dans un pays perpétuellement
vert, plein de fleurs et de fruits, traversé par la voie
lactée. Ils sont tous éternellement jeunes, le grand-père
ne se distinguant ni de ses enfants, ni de ses petits-enfants,
ils sont immortels comme les étoiles, car la mort n'a pas
réussi à pénétrer chez eux ».
Et, chez les Arandas aussi la communication avec les Dieux fut
facile, puis fut, de la même façon, brusquement interrompue, à un
moment donné.
Et dans ce cas aussi, le lien est facile à faire avec la
Bible des hébreux, la Torah, où Yahvé signifie étymologiquement
parlant, "celui qui était, qui est, et qui sera",
donc "l'Eternel" et forcément... "Eternellement
jeune". Comment ? Grâce à la science bien évidemment,
science, donnant accès à la vie éternelle,
que nous terriens commençons petit à petit à découvrir
grâce au clonage, le secret de la vie éternelle.
Maintenant revenons de nouveau au Grand Envoyé Prophète
Simon Kimbangu pour nous référer à son enseignement
réel. Mais pour cela il nous faut faire appel au Mouvement
qu'il a créé lui-même et appelé "Kintuadi" (ce
qui veut dire Union) ; et non à l'Eglise nommée pourtant "Kimbanguiste",
car celle-ci fut créée après sa mort par son
fils cadet, lequel a choisi de collaborer avec l'Administration
coloniale et par conséquent a trahi le Prophète son
père, pire cette "Eglise Kimbanguiste" a
même été plus tard jusqu'à collaborer
en R.D.C. (au Congo Kinshasa) avec un certain "Mobutu Sese
Seko", l'horrible dictateur sanguinaire que l'on sait.
Ce qu'il faut garder à l'esprit, constamment, c'est que
le Prophète Simon Kimbangu parlait de "Dieux" au
pluriel, c'est indéniable : il parlait d'un peuple vivant
dans les cieux... et quand il parlait de "nos créateurs" (au
pluriel, toujours !)... de "nos pères qui sont dans
les cieux" il en parlait avec les termes précis suivants
: « Batata Nzambi' A Mpungu », or ce sont les colonisateurs
qui nous ont contraints à traduire le terme "Nzambi" par "Dieu",
obligeant ainsi notre subconscient à se référer à un
Dieu unique, immatériel et omniprésent (... tel ce
faux "Dieu" qu'ils ont inventé et auquel ils veulent, à tout
prix, nous faire croire !).
Or le mot "Batata" est d'une importance plus que capitale,
car dans toutes les langues Kongos, ce mot "Batata" est
forcément pluriel sans aucune contestation possible ; littéralement
il signifie "les Pères" ou "nos Pères" (au
pluriel, une fois encore) c'est donc l'équivalent de "Adonaï" et
de "Elohim" en hébreu, qui sont, eux aussi,
deux pluriels incontournables et incontestables.
Quand le Prophète Simon Kimbangu emploie les mots suivants
: « Mpeve Ya Batata Nzambi' A Mpungu Tulendo » il ne
peut jamais, en aucun cas, s'agir d'un singulier. Ce fait tous
les Kongos honnêtes doivent l'admettre et admettre aussi
que la traduction française de cette expression, telle qu'on
peut la lire aujourd'hui dans les écrits de l'Eglise Kimbanguiste
est entièrement fausse, honteusement fausse, écrire
: « car l'esprit de notre Dieu tout puissant », c'est
complètement en défigurer le véritable sens,
car le vrai message de Simon Kimbangu est ici adressé en
même temps à plusieurs personnes (encore et toujours "au
pluriel") et non pas à un "Dieu" unique
!
Voilà, la vérité des choses ! Face à cela,
tout "vrai" Kimbanguiste devrait se révolter contre
l'EGLISE DE JESUS-CHRIST SUR LA TERRE PAR LE PROPHETE SIMON KIMBANGU
(EJCSK). Quelle trahison pour l'Afrique... quelle soumission de
la part des opprimés que nous sommes et restons... quel
abandon de cette vigoureuse et salutaire lutte prônée
par le Prophète Simon Kimbangu, qui, lui, était bel
et bien un "polythéiste" puisqu'il parlait
de dieux... au pluriel et priait des dieux... au pluriel !
D'ailleurs il convient de noter que le mot "Nzambi" est
aussi utilisé chez les peuples du Gabon, où, dans
certaines langues on dit aussi "Nzame" ou encore "Nzambe".
Par exemple chez les Fangs du Gabon l'histoire de l'origine de
la vie sur Terre est racontée dans le Mvett : on y parle
de gens venus du ciel et ayant une haute technologie, disant que
leur chef est "Nzame", dont un des frères est "Zong" et
une des sœurs "Ngigone". "Zong" y est
un peu considéré comme le "Satan" ! Le
Mvett raconte par ailleurs que ces dieux (au pluriel, une fois
de plus) ce peuple, sont des êtres "physiques" qui
ont une vie comme les humains, qu'ils sont tous des dieux créateurs
suprêmes et qu'ils savent faire des choses qui dépasse
l'entendement des humains. On ne peut être plus clair, de
nos jours, parlant de ces êtres-là, on dit tout simplement "des
Extra-Terrestres" hautement avancés !
Je ne peux pas oublier dans ce chapitre, d'évoquer mes amis
les Dogons, ce peuple magnifique vivant sur le plateau aride, desséché de
Bandiagara au Mali. Pourquoi ne surtout pas les oublier ? Parce
que leur cosmogonie est absolument formidable, en effet ils sont
depuis qu'ils existent détenteurs de connaissances cosmiques
extraordinaires qu'ils se transmettent de générations
en générations et ceci en n'ayant pas eu de télescopes
ou de microscopes à leur disposition depuis le début
de leur existence et également sans une quelconque application
de mathématiques supérieures.
Ceci étant, les Dogons ont leur propre Genèse à eux
et selon leurs ancêtres Dogons, leurs dieux créateurs
seraient venus de la constellation Sirius. Les Dogons disent avoir
connaissance, depuis des millénaires, du fait que l'étoile
Sirius a deux autres étoiles satellites ou autrement dit
deux étoiles "sœurs" qui l'accompagnent.
A l'œil nu on ne peut apercevoir qu'une seule étoile
et ce n'est qu'en 1862 qu'un astronome américain, Alvan
Clarke, a découvert grâce à un télescope
puissant qu'il y avait une deuxième étoile tournant
autour de Sirius, cette deuxième étoile fut nommée
Sirius B. Hors, les Dogons savaient ceci depuis des millénaires
déjà...disons "depuis toujours" ! Comment
pouvaient-ils savoir cela ? Qui plus est, en fonction des informations
qu'ils possèdent, ils ont toujours prétendu qu'il
y avait, de surcroît, une "Sirius C" ! Leurs ancêtres,
leurs dieux-créateurs seraient, selon eux, venus d'une planète
qui est en orbite autour de cette troisième étoile,
la Sirius C, que nous ne connaissons pas encore.
Mais cela va encore plus loin, les Dogons sont depuis
toujours en possession de données et de connaissances tout à fait
précises sur Sirius.
Ainsi, ils affirment savoir depuis toujours que Sirius
possède
une étoile satellite plus petite qu'elle-même, Sirius
B donc, mais ils précisent que cette deuxième étoile,
bien que plus petite que Sirius (A), est plus lourde qu'elle, c'est
pourquoi ils la nomment depuis toujours "Po Tolo" ou "Po-Digitaria" d'après
le nom d'une graine de céréale africaine qu'ils utilisent
et qui est tout à la fois très petite et très
lourde. Ils savent aussi que cette "Sirius B" boucle
son orbite elliptique autour de "Sirius A" en 50 ans,
raison pour laquelle ils célèbrent tous les 50 ans
leur grande fête, la "fête de Sigui".
Maintenant ces données au sujet de Sirius B se trouvent être
confirmées par la science de notre époque, mais eux,
les Dogons, possèdent ces données et cette connaissance
depuis le début de leur histoire : ils ont conservé tout
ceci de génération en génération sur
des cartes célestes du ciel et de Sirius, cartes gardées
par leurs Prêtres initiés. Or, en 1960 nos astronomes
ont pu calculer exactement, avec une précision remarquable,
la période de révolution de Sirius B autour de Sirius
A et constater que cette révolution s'effectue en... 50,090
années ! Les Dogons, eux, savaient cela depuis toujours
!
Et les Dogons vont même plus loin, ils affirment qu'il y
a encore une autre étoile... disons "Sirius C" qu'ils
nomment "Emma Ya" ou "Sorgo", et que cette étoile-là a
une révolution de 32 ans autour de Sirius A, tournant sur
une orbite elliptique très excentrique et qui serait perpendiculaire à celle
de Sirius B ! Ils possèdent des dessins et des cartes de
ces orbites, mais surtout, ils disent que cette étoile Sirius
C (Emma Ya) possède plusieurs planètes en orbite
autour d'elle et qu'une de ces planètes est la maison de
leurs dieux-créateurs, de leurs ancêtres, lesquels
seraient venus sur terre, il y a très longtemps à bord
du Nomo, selon leurs traditions un vaisseau inter-stellaire dont
la forme serait très proche de nos fusées lunaire
actuelles, type "Apollo".
De nos jours, beaucoup d'astronomes commencent à soupçonner
qu'il devrait effectivement y avoir une "Sirius C" tournant
autour de Sirius A, car ils peuvent constater, avec leur appareillage
actuel, des changements de couleur du système et, de ce
fait, ils pensent que cette "Sirius C", dont parlent
les Dogons, pourrait avoir une orbite très aplatie, un peu
comme une comète ; en utilisant un coronographe occultant
la forte lumière de Sirius A, ils peuvent à présent
apercevoir deux corps voyageurs, mais n'arrivent pas encore à déterminer
lequel de ces corps présente un mouvement propre au système
de Sirius (publication dans la
revue "Astronomy & Astrophysics"). Les astronomes
Jean-Louis Duvent et Daniel Benest de l'observatoire de Nice ont
utilisé des simulations numériques d'ordinateurs
et leurs observations renforcent également la probabilité d'existence
d'un troisième corps de faible masse dans l'environnement
de Sirius (Publication dans la Revue "Ciel et Espace",
1995).
Mais, nos fameux Dogons possèdent encore beaucoup d'autres
connaissances astronomiques qui paraissent étonnantes pour
une tribu africaine vivant repliée sur elle-même depuis
toujours, sans contact avec l'extérieur. Pour les DOGONS le patron, le chef, le leader des Dieux-créateurs se nomme "Amma",
et pour eux l'univers est infini, mais tout de même mesurable,
ils disent aussi qu'existent dans l'univers des mondes infinis
habités et qu'ils s'éloignent de la terre à des
vitesses très grandes dans un mouvement spirale ; ils ajoutent
que ces mouvements spirales et structures élémentaires
se trouvent également dans l'infiniment petit qui compose
les hommes, ce qui revient à dire que l'infiniment grand
(les planètes, systèmes solaires, galaxies, voies
lactées) a la même configuration que l'infiniment
petit (les cellules, molécules, atomes qui composent
nos corps).
Les Dogons connaissent depuis toujours les différentes phases
de Vénus, ils divisent le Ciel en 22 parties égales
et en 266 constellations et disent que Vénus possède
un "compagnon" (ce pourrait être l'astéroïde
Toro, récemment découvert entre la Terre et Vénus),
ils connaissent aussi les 4 plus gros satellites de Saturne pourtant
invisibles à l'œil nu, mais ils ne connaissent pas
les planètes qui sont au-delà de Saturne (Uranus,
Neptune, Pluton)...
Ils disent avoir reçu les connaissances qu'ils possèdent
d'un peuple venu du ciel et qui les a créé, que les
membres de ce peuple du ciel sont descendus sur terre il y a très
longtemps, qu'ils ont amené avec eux des fibres végétales
provenant de plantes du "champ du Ciel" et qu'après
avoir créé la vie sur terre, les plantes, les animaux,
ils ont créé le premier couple humain, qui engendrera
par la suite les huit grands ancêtres de l'Humanité,
et qu'une fois leurs tâche terminée Amma et les autres
dieux regagnèrent le Ciel à bord de Nomo (leur
Vaisseau).
On ne peut être plus clair ! Le Polythéisme
- croyance en des dieux (au pluriel) physiques, de chair
et de sang, voyageurs
de l'espace - est source de la vérité.
L'Eglise Chrétienne
Catholique cache cette vérité et
nous maintient dans l'ignorance afin de continuer à exercer
son Pouvoir sur les hommes, un pouvoir qui s'appuie
sur l'ignorance des masses, sur la croyance aveugle
des masses, sur une croyance
supraoc-culaire obscurantiste, sur le mysticisme, sur
le mystère
de dieu, un dieu immatériel omnipotent qui,
en fait, n'existe pas.
La vie dans l'univers est un phénomène banal, il
y a dans l'univers infini une infinité de mondes habités
par des "humanoïdes", fruits d'une création
humaine ; ce sont à chaque fois des hommes qui, grâce à la
science, créent d'autres hommes, ceci partout dans l'univers
infini... à l'infini ! Et cela, en Afrique noire, on l'a
toujours su, mais l'esclavagisme, l'assimilation religieuse et
notre colonisation par l'Occident chrétien, usant... et
abusant sans scrupule de la force, nous ont enlevé nos "religions
authentiques" qui parlaient toutes de ces êtres, de
ce peuple venu du ciel qui a créé toute vie sur
terre avec science et art.
J'aimerais maintenant faire ici un clin d'œil particulier
aux peuples "AMERINDIENS", ces peuples autochtones des
Amériques, auxquels Christophe Colomb - croyant atteindre
les Indes - a indûment attribué ce nom d'"indiens" qui
leurs est resté. Je pense spécialement à eux
car ces peuples ont également eu à subir quelque
chose de presque similaire à ce qui a si cruellement frappé les
peuples africains : un génocide, perpétré tout
pareillement par des colons chrétiens venant de l'Occident.
Dans les cultures de ces natifs "indiens" il est fait
référence à ce qu'ils appellent "le peuple
venu du ciel". En effet selon leurs traditions dites maintenant "indiennes",
un "peuple venu du ciel" serait jadis descendu sur la
terre pour leurs apprendre ce qu'il faut connaître sur les
plantes (la biologie) et comment faire pour vivre en harmonie avec
la Mère Terre et le Père Ciel. Ces êtres venus
du ciel leurs auraient également envoyé des Prophètes
afin de guider leurs peuples durant les ères écoulées...
Les êtres contactés par ce "peuple venu du ciel",
ces Prophètes qui les ont ainsi guidés, étaient
entre autres : Tenskwautawa, Smohalla et Wovoka.
Plusieurs chefs des natifs américains "indiens" pensent
qu'à présent les temps sont venus de parler ouvertement
d'une certaine partie de leurs traditions, partie qu'ils ont maintenue
secrète jusqu'alors, à savoir : leurs légendes
et histoires concernant la création et ce peuple du ciel
qui est venu il y a très longtemps sur terre voyageant dans
leurs "oiseaux de tonnerre" (Thunderbirds), c'est-à-dire
dans leurs engins spatiaux.
Ces chefs pensent qu'il faut maintenant faire savoir
que ce sont des hommes et des femmes de ce "peuple du ciel" qui nous
ont créés, qu'ils ont sillonné la terre, marchant
parmi nous pendant un certain temps puis qu'ils sont, à un
moment donné, repartis vers leur monde à eux, laissant
seul sur terre l'homme qu'ils y avaient créé, afin
qu'il progresse lentement jusqu'au jour où il serait en
mesure de comprendre tout, sachant qu'à ce moment-là le
retour du "peuple du ciel" serait imminent et que l'homme
comprendrait alors sa véritable origine, l'histoire vraie
de sa planète et de sa genèse à lui, en
tant que race vivante.
Ces traditions indiennes évoquent leur origine à partir
des étoiles, l'influence du "peuple du ciel" dans
le développement de leur culture, leurs croyances spirituelles
et leurs cérémonies religieuses, mais aussi... et
surtout, elles parlent du retour imminent de ce "peuple du
ciel"... retour prévu pour ces temps-ci, temps où l'Eglise
du colon, menteuse et usurpatrice, viendra enfin à s'effondrer.
Nous africains, nous devons absolument garder nos traditions
religieuses - car elles sont justes - et les garder
les plus vivaces possibles,
car elles sont fondées sur le "polythéisme",
la croyance en d'innombrables Dieux, tandis que dans le monde occidental
la croyance en une multitude d'êtres cosmiques célestes
s'est effacée peu à peu, et elle y a été remplacée,
malheureusement, par le "monothéisme", la croyance
en un Dieu unique... inventé mensongèrement. Ce qui
n'est pas correct du tout car la règle générale
qui préexistait avant la naissance du monothéisme
judéo-chrétien c'était la vénération
d'une multitude de Dieux, et cela depuis toujours.
De ce fait, en vénérant leurs Dieux, les polythéistes
ne considéraient pas le Dieu dirigeant, Yahvé, comme étant
seul, et là encore on peut faire le lien avec la Torah en
Hébreu, pour démontrer que nos ancêtres noirs
connaissaient la vérité par rapport à cette
pluralité de Dieux. En effet, Yahvé n'est pas du
tout seul dans la Torah, il y est entouré d'une grande cour
céleste, dont l'ensemble - toujours dans la Torah - est
appelé "Elohim". Ce mot "Elohim", rappelons
le, est un pluriel en hébreu (le singulier c'est "Eloha" ou "Eloah")
et "Elohim" signifie étymologi-quement "ceux
qui sont venus du ciel".
Il faut aussi savoir que l'emploi du "pluriel de majesté",
les "Vous" ou "Nous", employés en français à la
place d'un singulier et rien que par convenance, cela n'existe
pas dans la sémantique hébraïque. Par ex.
ce
qu'on peut entendre en France, du genre : « En ce jour
de fête nationale, Nous, Président de la République
Française, conscient des problèmes actuellement
subis par les français, avons décidé que
[... suit le "blabla"- langue de bois habituel
!] cela n'est pas traduisible, en mot à mot du moins,
en langue hébraïque.
Donc, c'est bel et bien d'un peuple qu'il est question,
et c'est bien ce peuple qui est désigné par le mot "Elohim",
par exemple, dès cette première phrase de la Genèse,
récit biblique de la création : « Au commencement
Elohim créa les deux et la terre. » (GENESE I, 1)
ou encore, un peu après, en GENESE I, 27 : « Elohim
créa donc Vhomme à son image, à V image dy
Elohim il le créa. Il les créa mâle et femelle. » c'est
bien que ce projet de création et sa réalisation
c'est l'œuvre du peuple Elohim, et que c'est ressemblant à eux-mêmes,
que des scientifiques de ce peuple "Elohim" (mâles
et femelles) ont créés les êtres humains
que nous sommes.
Constatons ensemble, dans les pages: Le
monothéisme Judéo-Chrétien : piège, tromperie, escroquerie, à quel
point nos traditions religieuses polythéistes étaient...
et sont toujours dans la vérité.
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