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Jésus :
le mensonge autour
de sa vie sexuelle,
sa succession et sa "divinité"
«
Le désarroi des chrétiens vient en grande partie
du manque d'information de la part des théologiens et
des
historiens de l'Église qui, pour nier les faits susceptibles
de provoquer
un scandale, opèrent de deux manières : ou ils déforment
les faits
et leur font dire le contraire, ou ils camouflent la vérité ».
—
JOACHIM KAHL, Docteur en théologie, Université Philippe,
Marburg, Allemagne -
Les deux hommes clés qui furent en grande partie à la
base du visage du Christianisme tel que nous le connaissons
aujourd'hui sont, sans aucun doute, Paul, l'ancien pharisien
Saiïl,
qui fera du Christianisme une religion universelle (voir
les pages : Paul bâtisseur du Christianisme l'homme
du mensonge et de l'antisémitisme), mais
aussi ce personnage ambigu que fut l'Empereur Romain Constantin,
dit "Constantin 1er le Grand", dont le règne
au IVème siècle aura duré de 306 à 337.
Il faut savoir que Constantin était, avant l'arrivée
du Christianisme, le Grand Maître de la religion officielle
de Rome : le culte païen du soleil invincible ("Sol Invictus",
en latin). Soudainement Constantin s'est trouvé face à un
sérieux problème durant son règne, à savoir
: le brusque essor et l'expansion rapide du Christianisme au sein
de son Empire, où païens et chrétiens s'affrontaient
; cela occasionnait des risques d'instabilité et de
divisions au sein de son Empire.
Or, Constantin était un homme d'affaire pragmatique, il
avait compris que le christianisme allait encore prendre de l'ampleur
et qu'il valait mieux se mettre du côté de cette nouvelle
religion dont le développement démarrait en flèche.
Dès lors la seule question qu'il se posa ce fut : "comment
amener le peuple païen au Christianisme ?"
.
Or cet empereur, subtil, n'était en fait intéressé uniquement
que par le pouvoir. .. peut-être aussi fut-il inspiré par
l'illustre exemple de Paul, "le menteur" (?), toujours
est-il que la meilleure solution qu'il trouva pour résoudre
son problème ce fut de se prétendre lui-même
inspiré par "Dieu" et converti au Christianisme,
ce qui n'était chez lui que l'emploi d'une ruse politique
puisque des indices historiques sérieux nous prouvent qu'en
réalité il ne s'est fait baptisé au
christianisme que bien tard : sur son lit de mort !
Pour parvenir à ses fins, Constantin va, toujours avec son
habileté et sa ruse, établir des compromis et réaliser
des fusions de dates astucieuses, introduisant ainsi des rituels
et des symboles païens dans la tradition chrétienne
en formation. En d'autres termes, il met au point une religion
métissée, une religion hybride, compréhensible
et acceptable par tous ses sujets. En regardant cela attentivement
on observe qu'un grand nombre de traces païennes subsistent
encore de nos jours à l'intérieur du symbolisme chrétien,
or la plupart d'entre elles sont signées de la main
de Constantin, par exemple :
-le disque solaire dans lequel se déplaçait
les dieux égyptiens
est devenu l'auréole des saints chrétiens ;
-la mitre ;
-l'autel ;
-l'eucharistie (le fait de manger le corps du Christ-dieu)
;
-à
l'origine les premiers chrétiens honoraient le Sabbat
juif (logique, Jésus était un rabbin juif !),
leur jour de repos était donc le samedi. C'est Constantin
qui l'a déplacé pour le faire coïncider
avec la célébration
du dieu païen "Mithra" (dieu solaire de l'ancien
Iran). Ainsi la grande masse des chrétiens "ignorants"...
voire "ignares" - et c'est encore valable à notre époque
- célèbrent en fait sans le savoir, chaque
dimanche en assistant au service dominical... la fête
du Soleil (d'où le
mot "Sunday" en anglais, le mot "Sonntag" en
allemand, le mot "zondag" en néerlandais,
pour désigner "dimanche", ce qui veut dire,
littéralement
traduit en français : "Jour du Soleil")
; ces mêmes chrétiens font en même temps
plein de rituels païens tel que l'eucharistie, mais
sans en avoir la moindre conscience.
Un comportement pareil est tellement ridicule qu'il en devient
franchement comique, cela ne mérite que de grands éclats
de rire !
L'Empereur Romain Constantin a tout simplement utilisé la
figure de "Jésus" ainsi que le Christianisme à des
fins politiques, mais ce faisant
il a façonné le visage du Christianisme profondément
et fort durablement. .. puisque jusqu'à nos jours
!
Pour arriver à ses fins politiques, Constantin va convoquer
un concile, ce sera le premier concile œcuménique de
Nicée (en 325), dont le "Credo" était déjà,
grosso modo, celui des Catholiques de nos jours ! Il est à noter
que le Pape Sylvestre, le "Pontife" de l'époque,
n'y était pas présent, il y avait seulement délégué deux
observateurs à lui ! Mais enfin, même si Constantin
n'était que le Président d'honneur de ce Concile
et que Ozius de Cordue en était le Président en exercice,
c'est Constantin qui, dans les faits, en était le véritable
directeur, le principal décideur, bref le président
effectif... c'était lui.
Ce serait bien lors de cette assemblée, à ce moment-là,
que Constantin aurait commandé et financé la rédaction
d'un Nouveau Testament ; celui-ci devait exclure de tous les Evangiles
toute information évoquant les aspects humains de Jésus,
il était pour lui impératif que Jésus y apparaisse
comme "divin", quitte à adapter les textes pour
parvenir à ce but : Jésus ne devait surtout pas y
apparaître comme un mortel ou un homme parmi les hommes,
ayant une vie d'homme comme tout le monde. C'est pourquoi, les évangiles
montrant l'aspect humain de Jésus furent rassemblés, écartés,
détruits, brûlés ! On peut vraiment dire que,
dès lors, l'histoire originelle de Jésus fut réellement
bannie. Et le Pape Sylvestre se tut : il y consentit... en fait
cela arrangeait également bien l'Eglise de Rome.
Quand un chrétien me parle du Nouveau Testament, je
ris et lui réponds : « Ah oui, vous voulez me
parler de la Bible de Constantin ! » (d'ailleurs
je consacre dans ce site une partie de la
véritable origine
des évangiles chrétiens... c'est assez édifiant,
comme vous pouvez en juger !).
Donc, le Nouveau Testament aurait en grande partie été rédigé et
compilé en fonction du programme politique bien précis
et bien défini de l'Empereur Romain Constantin 1er pour
qui il fallait promouvoir la "divinité" de Jésus,
cette influence devant consolider le pouvoir impérial de
Constantin, un pouvoir pourtant déjà bien mis en
place grâce à ses nombreuses victoires militaires.
C'est cet Empereur romain sanguinaire, meurtrier, (assassin
de sa femme et de son propre fils) qui inaugura vers 327
la première
basilique du Vatican, la basilique Saint-Pierre, édifiée
sur son ordre et, comme de bien entendu, il sera plus tard canonisé par
l'Eglise !
C'est évident, qu'une partie de l'histoire originelle de
Jésus a ainsi été bannie, car il ne fallait
pas faire apparaître Jésus comme un "homme" parmi
les hommes !
Faisons un tour chez le célèbre Leonardo da Vinci
(1452-1519), un grand farceur espiègle et qui était
selon beaucoup de sources un homosexuel flamboyant, donc tout sauf
un bon "fidèle" de l'Eglise. Une de ses toiles
peintes les plus célèbres, c'est "la Cène" (le
dernier repas de Jésus avec ses douze apôtres). Regardons
cette toile avec la plus vive attention car à travers tous
les temps, beaucoup de personnes "initiées" ont
dissimulé dans leurs œuvres d'art (peintures, littératures,
etc.), d'une manière cachée et symbolique, certaines
choses particulières dont... elles, se trouvaient informées.
Ce célèbre tableau est censé représenter
treize hommes, Jésus et ses douze apôtres, lors du
dernier repas. Mais, approchons-nous au plus près de cette
toile, observons précisément la personne assise à la
droite de Jésus ! Ce n'est pas un homme, mais une femme,
c'est une jeune et jolie femme, sensuelle,elle a une magnifique
chevelure rousse et ses mains sont délicatement posées
sur la table ! Qui est cette femme ? Et pour quel motif quelqu'un
comme Leonardo da Vinci l'aurait-il dessinée dans cette
toile ? Quel message voulait-il transmettre ainsi ? Qu'y a-t-il
de tellement important autour de cette jeune femme et par voie
de conséquence également autour du personnage de
Jésus ?
Eh bien, cette jeune femme pourrait très bien représenter
Marie Madeleine... qui n'était pas une prostituée
comme on tient à nous le faire croire, mais probablement
la compagne attitrée de Jésus, autrement dit sa "femme",
celle avec qui il était marié !
Marie Madeleine doit être un des plus grands cauchemar du
Vatican, de la prude Eglise Catholique Chrétienne, une vaste
campagne de diffamation autour de sa personne a dû être
menée de façon à ce qu'elle passe pour une
banale prostituée, tout ceci afin de masquer peut-être
un secret qui pourrait faire s'écrouler l'Eglise, la Chrétienté,
le Vatican ! !?
Regardez bien la Cène peinte par Leonardo da Vinci, à la
droite de Jésus il a peint une compagne de Jésus,
probablement Marie Madeleine ; à l'époque de ce célèbre
peintre, le signe de la féminité était le "V" de
Vénus... et pour bien illustré d'une façon
cachée qu'il s'agit vraiment d'une femme dans son tableau,
Leonardo da Vinci y fait apparaître parfaitement la forme "V" entre
Jésus et la personne assise à sa
droite. Jésus avait une femme, une compagne, plusieurs femmes,
plusieurs compagnes ?! ! Jésus était un rabbin juif,
c'était un juif... et à cette époque-là,
la société juive proscrivait le célibat,
il faut le savoir !
Beaucoup d'Evangiles gnostiques dans les papyrus coptes de
Nag Hammadi et les manuscrits araméens de la mer morte, telles
que l'évangile de Philippe font état de relations
physiques amoureuses entre Jésus et Marie Madeleine. Jésus
et Marie Madeleine ont fort probablement eu des relations sexuelles
ensemble ! Et probablement que Jésus avait encore eu d'autres
compagnes ou maîtresses. Il y aurait même parmi ces
Evangiles apocryphes l'Evangile de "Marie Madeleine",
eh oui ! Dans cet évangile il est fait mention de la jalousie
de Pierre envers Marie Madeleine, Pierre qui ne supporte pas que
Jésus aime tant Marie Madeleine, que Jésus l'aime
plus que tout le monde, et qu'il l'ait agréée. Qui
l'ait agréée... mais pour quoi ? En quelle qualité ?
Tout simplement, Jésus sachant sa fin proche aurait peut-être
pu donner la succession de son Mouvement, de son Ministère à Marie
Madeleine, à une femme ! Et Pierre en est jaloux, il ne
supporte pas d'être dépassé par une femme
! Fort possible !
Jésus avait complètement révolutionné les
coutumes juives de son époque. Il faut savoir que
lesdites coutumes se basaient sur la loi Mosaïque, elles
discriminaient les femmes, les soumettaient au mépris
des hommes, ces derniers se devant d'être méfiants
face à la femme "tentatrice", "source
du mal" ; il leur était même imposé d'afficher
un dégoût pour la femme "impure" ;
enfin cette même loi Mosaïque édictait également
qu'il ne fallait enseigner qu'aux garçons, aux fils
(d'ailleurs certains continuent encore aujourd'hui à appliquer
ce précepte à la
lettre !).
De son côté Jésus, lui, se
fait complètement entouré de femmes qui prennent
soin de lui... effectivement les femmes autour de lui furent
nombreuses
: Marie Madeleine, Jeanne, Suzanne, Marie Salomé,
Marie la sœur de Marthe, etc.
Mais parmi toutes ces femmes il avait clairement une "élue",
une compagne attitrée, Marie Madeleine, qu'il aimait profondément... à un
point tel qu'il lui apporte, à elle, plus d'enseignement
qu'à ses apôtres... et eux en sont jaloux, particulièrement
l'Apôtre Pierre qui ne s'en cache pas et ne parvient pas à tolérer
cela.
Disons le tout net : la première communauté de disciples,
après le décès de Jésus, aurait probablement
dû être dirigée par une femme... Jésus
aurait-il confié sa succession à une femme et cette
femme se serait-elle appelée Marie Madeleine !? Dans ce
cas, Jésus aurait ainsi réhabilité toutes
les femmes si longtemps discriminées par la loi Mosaïque
juive sexiste.
Et dans sa toile "la Cène" ,
Leonardo da Vinci illustre apparemment les sentiments de
Pierre envers Marie Madeleine : à la
droite de Marie Madeleine c'est Pierre qui se penche vers
elle tout en
tendant au cou de Marie Madeleine une main menaçante
comme une lame de couteau voulant lui trancher la gorge !
Et ce n'est
pas tout... entre les deux apôtres assis à la
gauche de Jésus il y a une main qui surgit tendant
un poignard, et si on compte les bras de chacun, cette main
n'appartient à personne,
ce bras est anonyme, il est sans corps visible dans le tableau
mais il semble se diriger vers Marie Madeleine ! Explication
: Marie Madeleine va-t-elle, après la mort de Jésus,
devenir une personne à éliminer, cherchera-t-on à la
tuer !? Les Apôtres, sitôt après la disparition
de Jésus, vont-ils la destituer !?
Ni l'Eglise de Paul, ni l'Eglise de Pierre, aucune des deux
ne fut la véritable Eglise en légitime succession du
Ministère de Jésus, la seule légitime Eglise était
probablement celle de Marie Madeleine, l'élue de Jésus
!
Il ne faut pas oublier que Marie Madeleine était certes
pauvre, mais tout de même une princesse de la Tribu de Benjamin
(une des douze tribus d'Israël), donc de descendance royale
et que Jésus était de la maison de David, descendant
de Salomon, roi des Juifs. Donc, on avait ici deux lignées
de sang royal unies par un mariage, réunies dans un
couple !
Est-ce le simple fait que Jésus avait certainement une vie
sexuelle bien épanouie, que Marie Madeleine était
sa femme, sa compagne attitrée et que Jésus l'avait
peut-être nommée pour lui succéder, afin de
diriger son Mouvement Spirituel au cas où il devrait disparaître...
est-ce une des choses que l'Eglise, le Vatican surtout voulait
cacher, maintenir secrète, ainsi que certaines Sociétés
Secrètes ou Ordres secrets ? Fort probablement ! Leonardo
da Vinci n'a-t-il pas été lui-même le Grand
Maître d'un Ordre Secret, le prieuré de Sion
!
Tous les Grands Maîtres de ce Prieuré de Sion ont été des
libertins au niveau sexuel, deux de ces Grands Maîtres, Leonardo
da Vinci et Jean Cocteau étaient des homosexuels de grand
appétit. D'ailleurs Leonardo da Vinci rend à mon
avis, secrètement et symboliquement, un grand
hommage à l'enseignement original de Jésus, à la
sexualité libertine, à la sexualité sans culpabilité dans
une autre de ces toiles célèbres, j'ai nommé "la
Joconde" ou plus précisément "la Mona Lisa".
Observons de près cette toile-là... qu'est-ce qui
la rend fameuse ? Le mystérieux visage et aussi le sourire
de la Mona Lisa (la Joconde)... que cache ce sourire ? Eh bien,
le dieu masculin du sexe et du plaisir des anciens égyptiens était "Amon" (il
existe d'ailleurs une marque de préservatifs appelée
Amon) et son opposé féminin, la déesse de
la fertilité, du plaisir et de la sexualité était
Isis. Nous avons donc d'un côté Isis dont l'ancien
pictogramme était L'ISA et de l'autre côté AMON...
AMON LISA... devient donc "MONA LISA".
Le grand Leonardo da Vinci faisait ici, à mon avis, un clin
d'œil secret et caché à la divinité de
la sexualité, à l'orgasme, au plaisir, à l'union
entre le féminin et le masculin en peignant un personnage
quelque part androgyne, mi-homme, mi-femme, la Mona Lisa... d'ailleurs
on pourrait même dire que c'est presque un autoportrait qu'il
a fait là (il y a une grande ressemblance entre les traits
de Mona Lisa et les siens), le jeune Leonardo da Vinci homosexuel
déguisé en "drag queen" de l'époque
!
Mais, on comprend pourquoi l'Eglise et l'Empereur Romain
Constantin ont cherché à diffamer la personne de Marie Madeleine,
elle était un obstacle terrible face à leur affirmation
mensongère disant que Jésus était "divin" !
L'Eglise Chrétienne Catholique continue à mentir,
continue à manipuler les masses en les enfermant dans le
mensonge. Le Pape Jean-Paul II est érudit, mais il s'obstine
dans le mensonge avec tout le reste des hauts cadres du Vatican.
Ils mentent tous, de A jusqu'à Z. Leur fondement - basé sur
un Jésus "divin" qui n'aurait jamais été lié à aucune
femme sur terre - est aussi stupide que faux : c'est un mensonge
volontaire !
L'essentiel à retenir de tout cela, c'est qu'une partie
de l'histoire de Jésus est une des plus grosses campagnes
de désinformation mondiale... Honte au Vatican, honte à l'Eglise
Chrétienne dans tout son ensemble pour sa volonté délibérée
d'abuser de la crédulité humaine !
Il est également intéressant de noter que les anciennes
traditions judaïques comprenaient des rites sexuels à l'intérieur
du Temple de Salomon, où des fidèles recherchait "l'orgasme
cosmique" qui leur
permettait de se sentir "un" avec l'univers, avec le
cosmos, ceci en s'accouplant avec des prêtresses - ou hiérodules
-. Notons ici que la Prophétesse noire africaine Kimpa Vita
faisaient aussi, vers le début des années 1700, pratiquer
des rites sexuels durant les cérémonies religieuses
de son Mouvement spirituel (ce qui lui valut... évidemment,
d'être déclarée hérétique, sorcière
et brûlée vive avec son bébé dans les
bras, par les soins de la "Sainte" Inquisition
Catholique !).
Jésus a perpétué un enseignement basé sur
la notion de l'éveil de l'esprit par l'éveil
du corps, et l'importance du plaisir et de la jouissance,
engrais qui font
s'ouvrir l'esprit sur le cosmos, sur l'infini.
Ce que l'on peut encore noter, c'est que Jésus aurait fort
bien pu avoir légué la direction, la pédagogie
de son ministère à une femme, Marie Madeleine, car
c'était un "féministe", et il a certainement
dû mettre l'accent sur l'importance des valeurs féminines
et la féminité pour l'épanouissement de la
société humaine ; en d'autres mots il a dû faire
de la féminité quelque chose de sacré et
d'important.
Par conséquent les Religions monothéistes qui discriminent
et abaissent la femme de nos jours (Christianisme, Islam et Judaïsme)
dévient de cette vérité et sont "sexistes", "machistes" et "discriminantes" ;
elles violent un enseignement originel qu'elles ont trahi, mutilé, éradiqué,
changé ou refusé... pour venir entacher les humains
d'un sentiment de culpabilité et encombrer leur vie de pesants
tabous autour du sexe, du plaisir, de la sensualité et de
la nudité des corps. L'enseignement, tellement déformé,
qu'elles nous apportent ainsi est grotesque certes, mais
en plus il est faux !
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